L’AVC est une maladie en pleine expansion. Au vu des cas qui sont de plus en plus enregistrés, il est important de vite reconnaître cette maladie et de la prévenir. Elle peut laisser des séquelles très graves. La meilleure manière de réagir face à cette maladie est de l’éviter ou de vite la détecter pour qu’un traitement adapté soit mis en place. Un accident vasculaire cérébral est très grave comme pathologie et une prise en charge urgente est de mise. Dans cet article, vous allez découvrir comment faire pour reconnaître un accident vasculaire cérébral et comment le prévenir.
AVC : de quoi il s’agit ?
En effet, un accident vasculaire cérébral ou plus simplement AVC est un arrêt de fonctionnement du cerveau dû à une interruption de l’apport sanguin. On comprend donc par là que l’AVC est un trouble du cerveau causé par des troubles vasculaires. Ces derniers se manifestent par une baisse considérable de l’apport sanguin au cerveau. En santé, le trouble du cerveau dans le cas d’un AVC peut être dû à plusieurs causes. Cela détermine aussi une classification en trois groupes de ce trouble cérébral. Premièrement, un tel trouble cérébral peut être dû à une hémorragie d’une des artères du cerveau. Cette hémorragie est causée par la plupart du temps par une rupture d’une artère cérébrale. On parle donc d’AVC hémorragique. Deuxièmement, l’accident vasculaire cérébral peut être dû à l’obstruction d’une des artères du cerveau. L’obstruction peut être causée par un caillot de sang. Un tel caillot qui peut aussi être formé par un amas de cholestérol sera donc à la base de l’atteinte cérébrale qui est dans ce cas dit ischémique. L’AVC ischémique est très fréquent et plus grave. Troisièmement, on distingue l’AVC ischémique transitoire. Dans tous les cas, un accident vasculaire cérébral peut se reconnaître par des signes apparents.
Reconnaître un accident vasculaire cérébral
Le mauvais apport sanguin au cerveau provoque des troubles qui vont retentir sur la santé de la personne. Il est donc impossible qu’un AVC soit furtif chez une personne. Les symptômes à l’origine de ce trouble vasculaire et cérébral sont nombreux. Il est important de les connaître. Cela va permettre de vite détecter un AVC pour que son traitement soit initié, car plus vite le traitement est initié, moindre seront les complications et les séquelles. Plus fréquemment, ces types de troubles se manifestent par une hémiplégie, hémiparésie, hémiparesthésie ou toute autre trouble prenant juste un côté droit du corps de la personne. Des symptômes comme des troubles de la parole sont aussi observés. Un autre des signes importants est la déformation de la bouche. C’est-à-dire que le sourire de la personne n’est pas symétrique. Dans beaucoup des cas, on note aussi une atteinte vasculaire cérébrale qui se manifeste par une perte soudaine de conscience. C’est pour cela que l’on appelle souvent l’accident vasculaire cérébral, une « attaque ». Il doit ce nom à son caractère soudain. Les facteurs de risque de l’accident vasculaire cérébral étant connu, il est possible de l’éviter.
Éviter un accident vasculaire cérébral
La meilleure des choses à faire est d’éviter L’AVC. Cette prévention passe par une certaine attitude à avoir vis-à-vis des facteurs de risque de la maladie. Il faut dans un premier temps éviter l’hypertension artérielle. Ou si vous avez déjà une hypertension artérielle, le mieux est de s’assurer de son suivi correct et adapté. Le tabagisme et l’alcoolisme sont aussi à éviter. On peut se prendre des apéritifs, mais l’essentiel est la consommation dans la modération. Il faut lutter activement contre le surpoids et l’obésité. Ces derniers entraînent les amas de cholestérol dans le sang capables de boucher une artère cérébrale. Il faut donc pratiquer une activité physique régulière. Les autres comportements à avoir sont : la consommation d’une alimentation équilibrée ni trop salée, ni trop gras et ni trop sucré et la surveillance de sa position par rapport au diabète. Il faut aussi faire des consultations périodiques même quand tout va bien.